L’arrière de Grenoble a été libéré de sa dernière année de contrat pour devenir joker Coupe du Monde au RCT et plus si affinités
Interrogé par Var-matin, Julien Caminati règle ses comptes avec son ancien club
[pull_quote_center]Je suis très content d’avoir quitté Grenoble car j’en avais un peu marre. J’ai fait trois ans à Brive, un club très familial où j’ai beaucoup appris en tant qu’homme et joueur, mais passer deux ans à Grenoble, c’était trop. Je me suis fait cambrioler au bout de deux jours, on m’a volé deux scooters et je n’ai pas trop apprécié le climat et la vie… En deux ans, aucun joueur de l’effectif pro ne m’a invité chez lui… Je pense que je n’y reviendrai jamais à part pour y jouer. Après, j’ai rencontré des personnes extraordinaires, vécu des moments de dingue, la magie du stade des Alpes, mais la page est tournée. Je marche un peu à l’affectif et je me suis trompé sur la personne qui s’occupe de Grenoble (Fabrice Landreau). J’ai été déçu car je n’ai jamais su pourquoi je ne jouais plus. Après, j’ai ma part de responsabilité car je me suis mis en dilettante. J’avais moins envie de me faire mal pour lui. Je ne partirai pas en vacances avec lui, mais je le remercie de m’avoir libéré[/pull_quote_center] Une fin malheureuse à Grenoble pour Caminati
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