Interrogé par le Figaro et Arnaud Coudry, l’aussie se dit impatient de disputer son premier quart de finale de H-Cup avec Toulon
Et même si l’équipe a fait le plein de confiance, notamment lors de sa victoire bonifiée contre le SF, celui-ci reste prudent et respecte son adversaire du jour.
« Il y a encore beaucoup de grosses équipes en lice dans cette compétition. Sur un match à élimination directe, tout est possible. Plusieurs équipes sont en mesure de nous battre. Et on peut très bien se faire sortir. Bien sûr, on est confiants, mais on ne tombe pas dans un quelconque excès de confiance. On joue un bon rugby, mais nous devons rester sur nos gardes. »
Il revient notamment sur le jeu en Top14 et la dimension physique engagée par les joueurs bien différentes du Super15, et avoue ne pas avoir su à quoi s’attendre lors de son arrivée à Toulon.
« À vrai dire, en arrivant à Toulon, je ne savais pas à quoi m’attendre. On m’avait parlé du côté très physique du rugby en France. Bon, je suis maintenant en mesure de le confirmer… (Sourire.) C’est une constance. Les matchs sont rudes, très engagés. »
Et plus particulièrement sur le RCT et sa « colonie » de star, et explique le plus simplement du monde que, malgré la pléiade d’internationaux, une conscience commune de la chance de jouer ensemble et à ce niveau de la compétition soude particulièrement le groupe.
« Au quotidien, les choses se passent simplement, il y a vraiment une bonne ambiance. Je crois que tout le monde se rend compte de la chance que l’on a de pouvoir jouer ensemble. »
En fin d’entretien, il revient sur sa chance d’évoluer avec Jonny Wilkinson, et combien celui-ci lui a apporté, et continuera à le faire de part sa prolongation de contrat.
« Jonny, c’est le professionnel ultime. »
Est évoqué également les relations avec Bernard Laporte, qui bien loin de ce qu’à connut le centre australien, réussit à trouver les synergies entre chaque joueurs pour faire avancer l’équipe.
Matt Giteau est donc confiant et impatient avant ce match !
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