« Il ont sanctionné ma présence dans le rugby, pas mes propos. Il y a 30 jours pour la sodomie et 100 pour le titre de 93 (en référence au titre remporté pars Castres dans des conditions douteuses). C’est une décision qui n’est pas en rapport avec ce que j’ai dit mais ce que je suis. Il y a eu une véritable volonté politique de me dégager du rugby. Oui, il y a eu beaucoup de pression ces derniers jours, même à Toulon, pour obtenir ma radiation.
Maintenant, j’ai plusieurs choix : faire appel ou demander un aménagement de ma peine (car je dois assumer ma responsabilité civile en tant que président).
Je peux aussi démissionner jusqu’au 4 juin, c’est une solution. Ce qui leur fait chier, en fait, c’est de voir ma gueule mais ils savent ce qu’ils doivent faire pour me faire partir. Ils ont qu’à me laisser gagner un titre. »
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