Sur la dernière action contre Lyon, diriez-vous que l’on a vu le véritable Alexis Palisson ?
Bizarrement, je m’y retrouve plus dans le désordre. J’aime voir les espaces et m’engouffrer dedans. J’ai un profil de joueur d’instinct.
Après la Coupe du monde, comment s’est passée votre arrivée à Toulon ?
J’étais content de changer d’air, de rentrer en France et de retrouver le Top 14. Je suis quelqu’un de casanier et j’aime bien être chez moi. Les hôtels, ça me gonfle. Dix jours seulement après mon arrivée à Toulon, j’ai ressenti le contrecoup. J’étais cuit physiquement. J’avais les jambes lourdes et je manquais de gaz. Dès que les entraînements duraient un peu trop, j’accusais le coup et je le ressentais un peu en match. Malgré ça, j’avais toujours l’envie de bien faire. Mais à part le match face à Lyon, dimanche dernier, je ne m’y retrouvais pas. Je me posais des questions.
Comment s’est passée votre adaptation à Toulon ?
Cela s’est fait naturellement. Je ne savais pas à quoi m’attendre car je n’étais jamais sorti du Limousin. J’ai commencé le rugby à l’Isle-sur-Vienne puis Limoges et Brive. J’étais venu une seule fois, à Juan-les-pins. Je m’en souviens car c’était l’été où la France est devenue championne du monde de football. J’aime beaucoup la région et je vis à La Valette pas loin du centre d’entraînement, avec ma copine.
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