Dans la continuité de ce ping pong verbal, voici donc la dernière réaction de Laporte sur l’affaire Cardona :
« Comme je disais, je ne veux pas que mes émotions soient gérées par des mecs qui… C’est un sentiment d’impuissance terrible. Quand ton équipe perd, tu sais que le lundi tu vas aller t’entraîner, tu vas faire de la vidéo, tu te sens utile quoi ! Face à cet incompétent tu te dis : « Mais cela va être tout le temps comme ça? » Et qu’est-ce que je peux changer ? Rien… Et je vois qu’il n’y a que Guy et moi qui parlons. Parce que c’est comme l’affaire Dieudonné, si personne parle… Moi je suis le Français moyen, Manuel Valls il a raison de dire stop au bout d’un moment. Même si on dit ce n’est pas son rôle. S’il n’y en a pas un à un moment donné qui dit stop, alors on ne dit rien. Cela va finir et il y aura une guerre civile. Au bout d’un moment, il faut dire les choses.
[…]En plus il attaque Vincent (Moscato) en disant « t’es un talonneur d’un autre siècle » mais il se prend pour qui le mec? Non mais oh respecte les gens ! Au moins de l’éducation, au moins ça ! Enfin ce n’est pas mon problème. Maintenant, il veut être ami avec moi, il m’envoie des textos, mais il peut se les carrer dans le c… les textos !«
Des paroles dures et crues qui restent dans la lignée de ses dernières sorties mais risqueraient cette fois de lui coûter très cher si la comission s’en mêle…
Pensez-vous que Bernard Laporte sera cité pour ses propos ?
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