Emu aux larmes à la fin du match, c’est un président à la fois comblé, et sur une autre planête qui parle à RMC de sa star, LE joueur du président, son pari, qui paie saison après saison.
Pour lui rien à dire, Wilkinson est une légende, imbattable, incomparable… bien qu’il y aille, avec la verve qu’on lui donnait, de ses petites analogies avec d’autres étoiles :
« Jonny ? Je l’avais dit. Les assassins reviennent toujours sur les lieux de leur crime. Jonny, c’est comme les Rolling Stones. Il y a des nouveaux qui arrivent et on se dit « c’est pas mal ». Mais quand tu vois les vieux papys sur scène, tu te dis que les Stones, ça reste les Stones. Jonny, c’est pareil. Jonny, ça reste Jonny. C’est le boss, le patron. C’est Bruce Springsteen, c’est les Stones. »
A un match d’un titre historique pour le club, tous les yeux vont être braqués sur un Jonny Wilkinson monstrueux qui va devoir faire abstraction de l’univers médiatique et relativiser pour préparer au mieux une demi-finale et Top 14, et une finale européenne à Dublin !
Et vous ? A qui compareriez-vous Wilkinson ?
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