Après la qualification pour une nouvelle finale (7 de suite) Boudjellal fait le point
Interrogé par L’Equipe, il évoque cette anomalie
[pull_quote_center]Ça fait bizarre, car ce n’est pas le genre de choses que tu programmes. Donc tu le subis. Quand tu vois comme c’est dur pour atteindre une finale, on se demande comment on l’a fait sept fois de suite. En même temps, ça légitime un travail. On est un vrai club. Mais profitons-en, ça ne va pas durer. On vit le meilleur. Je suis un “ spoutnik ”, je ne devrais pas exister, quand tu vois les fortunes qu’il y a dans le rugby : Michelin (Clermont), Altrad (Montpellier), Savare (Stade Français), Lorenzetti (Racing-Métro), Fabre (Castres), GL Events (Lyon)… Moi, mon métier, c’est de trouver de l’argent pour payer les salaires à la fin du mois. À un moment donné, ces gens vont reprendre le dessus, ou alors ils sont vraiment mauvais. Ça va s’arrêter. On est une anomalie, et en plus on a réussi à se faire passer pour des riches[/pull_quote_center]
Une sacrée performance