«Je trouve personnellement que ces métaphores, vulgaires et graveleuses, sont néfastes pour tous et en premier lieu préjudiciables au rugby», a argumenté le patron de la LNR dans un communiqué.
« La vulgarité, ce n’est pas ça »
Depuis les excuses de l’arbitre Christophe Berdos, le patron du RCT a fait son mea culpa. Mais Mourad Boudjellal a très peu goûté la réaction du président de la Ligue.
Et sa réponse cinglante ne s’est pas faite attendre. «La vulgarité ce n’est pas ça, tranche Mourad Boudjellal, joint mardi soir. La vulgarité, c’est d’exhiber dans son bureau le Bouclier de Brennus de 1993 quand on sait dans quelles conditions il a été obtenu (en référence au titre, entaché d’erreurs d’arbitrage, acquis par Castres, présidé à l’époque par Pierre-Yves Revol, Ndlr). La vulgarité, c’est de me convoquer dans l’intérêt supérieur du rugby quand je sais ce qui se passe au sommet du rugby français. La vulgarité, c’est de dire du mal de quelqu’un dans son dos et de sourire avec lui devant des caméras de télévision.»
Source: varmatin.com
