Isabelle Ithurburu: « Là où j’ai eu les plus gros frissons, c’est à Toulon »

Pour elle le joueur le plus classe est l’ancien toulonnais Jonny Wilkinson

[pull_quote_center]Le plus impressionnant et le plus classe, c’est Jonny Wilkinson. Il n’est oplus là malheureusement, mais c’est toujours un plaisir d’interroger une telle star, humble et toujours accessible[/pull_quote_center]

 

Isabelle Ithurburu évoque aussi l’ambiance bouillante de Mayol

[pull_quote_center]Là où j’ai eu les plus gros frissons et où c’est quand même très souvent le cas, c’est à Toulon. Mayol c’est vraiment très particulier. Déjà, c’est tout le temps plein. Même pour une affiche un peu moins importante, c’est plein. Et puis ce sont des fadas, ce n’est pas une légende, c’est des fous là-bas. Ça crie tout le temps, ça jette des journaux, ça alpague les joueurs. Clermont, c’est aussi une bonne ambiance mais c’est sage. C’est une bonne ambiance, mais tout le monde est dans le rang. Mais Toulon, c’est des fous, ce sont de grands malades.[/pull_quote_center]

 

Et enfin elle évoque sa plus belle boulette où le RCT s’est transformé en Racing Club Toulonnais

[pull_quote_center]C’était un lapsus. C’était lors d’un de mes premiers « Jour de rugby », donc j’étais assez tendue. J’avais fait une longue page sur le Racing-Métro 92 et j’ai dû enchaîner sur Toulon. A la première phrase, j’ai voulu dire Rugby Club Toulonnais et j’ai dit Racing Club Toulonnais. L’erreur à ne pas commettre. Je me suis reprise deux secondes plus tard mais je me suis faite assassiner sur les réseaux sociaux, en régie et par le club.[/pull_quote_center]